Un rêve
3 participants
:: La Grande Bibliothèque :: Les Archives :: Amestrian
Page 1 sur 1
Un rêve
(C'est bon ? J'ai bien compris comment fallait tout mettre ? ... On va s'dire ok !)
Test : 1,2... 1,2
Bon, reprenons.
Je m'en vais donc, avec honte et désarroi, par la présente, vous exposer l'une de mes très très très ancienne fic que j'ai retrouvé (ou du moins une partie ... J'ai certainement effacé l'autre) que j'avais écrit à la "va vite" peu avant de vouloir l'anéantir. Je me suis dit que la "remanier" à ma façon , du moins actuelle, serait un bonne exercice ? Vous m'en direz des nouvelles, mais je vous proposerez avant tout de vous munir de tomates, ayant pour fin d'atterrir virtuellement sur l'original de cette fiction et en plein sur mon égo déjà bien entacher de vous dévoiler ... Ce que je ne peux me résoudre à appeler "mon œuvre" (honte, quand tu nous tient ! lalalaaaaaa). Je tien aussi à préciser que ce que je m'en vais poster n'est qu'un "prologue", si je puis l'appeler ainsi, et que les chapitre tarderont certainement à arriver étant donner que je n'ai que quelques bases sur laquelle m'appuyer pour créer une histoire qui puisse tenir la route ...
Trêve de blabla, place à la présentation !
Titre : Un rêve : "un" parce que c'est un rêve parmi tant d'autre et qu'il n'est en rien différent, on s'attarde juste un peu dessus, avant de l'oublier et de passer à un autre la nuit suivante, qu'il peut faire souffrir ou émerveiller. Ici, vous l'aurez compris peut-être, utilisé de façon... Peu tendre je dirai, pour parler de l'amour (l'amour pour l'homme, plus précisément)
Genre : Une romance qui n'en est pas (J'en entend déjà me dire "okayyyyyy ...."), car il n'y a pas d'amour au sens ou nous l'entendons mais c'est de l'Amour dont nous parlerons ici ... Lisait, vous comprendrais (peut-être...)
Inspirations : Ma fanfiction se passe donc dans l'époque de FMA mais pas forcément dans le monde de FMA ... Là aussi, vous comprendrez plus tard.
(Allez-y, dites le que ma présentation n'a servie à rien !)
Si vous saviez combien je suis nerveuse de poster ça !
Test : 1,2... 1,2
Bon, reprenons.
Je m'en vais donc, avec honte et désarroi, par la présente, vous exposer l'une de mes très très très ancienne fic que j'ai retrouvé (ou du moins une partie ... J'ai certainement effacé l'autre) que j'avais écrit à la "va vite" peu avant de vouloir l'anéantir. Je me suis dit que la "remanier" à ma façon , du moins actuelle, serait un bonne exercice ? Vous m'en direz des nouvelles, mais je vous proposerez avant tout de vous munir de tomates, ayant pour fin d'atterrir virtuellement sur l'original de cette fiction et en plein sur mon égo déjà bien entacher de vous dévoiler ... Ce que je ne peux me résoudre à appeler "mon œuvre" (honte, quand tu nous tient ! lalalaaaaaa). Je tien aussi à préciser que ce que je m'en vais poster n'est qu'un "prologue", si je puis l'appeler ainsi, et que les chapitre tarderont certainement à arriver étant donner que je n'ai que quelques bases sur laquelle m'appuyer pour créer une histoire qui puisse tenir la route ...
Trêve de blabla, place à la présentation !
Titre : Un rêve : "un" parce que c'est un rêve parmi tant d'autre et qu'il n'est en rien différent, on s'attarde juste un peu dessus, avant de l'oublier et de passer à un autre la nuit suivante, qu'il peut faire souffrir ou émerveiller. Ici, vous l'aurez compris peut-être, utilisé de façon... Peu tendre je dirai, pour parler de l'amour (l'amour pour l'homme, plus précisément)
Genre : Une romance qui n'en est pas (J'en entend déjà me dire "okayyyyyy ...."), car il n'y a pas d'amour au sens ou nous l'entendons mais c'est de l'Amour dont nous parlerons ici ... Lisait, vous comprendrais (peut-être...)
Inspirations : Ma fanfiction se passe donc dans l'époque de FMA mais pas forcément dans le monde de FMA ... Là aussi, vous comprendrez plus tard.
(Allez-y, dites le que ma présentation n'a servie à rien !)
Si vous saviez combien je suis nerveuse de poster ça !
Ivy- David McAllistaire
- Nombre de messages : 8
Age : 30
Re: Un rêve
"Je l'ai vu, papa.
J'ai vu ce que tu avais tant voulu me montrer.
J'aurais aimé que tu sois là, auprès de moi, au moment où je m'approchais de cet endroit que tu avais tant chéri par tes paroles, que tu sublimais, que tu peignais, devant nous, pour nous, que tu admirais.
Cet endroit dont ton âme fût la prisonnière.
Je m'approchais lentement. Au début, je ne m'étais pas aperçut que c'était là que je me trouvais.
Une légère brise automnale m'a fait trembler, quand j'ai regardée devant moi.
Trois lampadaires se dressait juste à côté de moi, l'un d'eux ne marchait plus alors que les autres venaient de s'allumer.
Je continuais à marcher, puis je vins à m'écarter de cette lumière artificielle que tu aurais certainement maudit.
Je me sens frémir du léger vent qui se lève. Après tout, il devait être assez tard ? Je ne sais pas vraiment. J'avais perdue la notion du temps.
Je m'approchais de plus en plus, non sans une mince appréhension. Inconsciemment, sur ce moment, je me renvois à mon passé. Il ne fût pas forcément très heureux, je me l'avoue, mais pas moins fructueux, pourtant.
Je ferme les yeux un moment, tout en marchant, mes mains gantées entrecroisées devant ma bouche déjà violacée.
Je ne me suis encore pas assez couverte et je t'entends de là me dire que tu me l'avais dit, et j'en ris.
Je rouvre les yeux... Et me sens paralyser.
Je suis à l'heure, apparemment, car c'est comme tu me l'as décris.
Et maintenant, je pense comprendre tout ce dont tu nous parlais avec tant de détails, mais que nous ne comprenions que de façon obscur. Comment l'appelais-tu ?
L'étang d'or.
Je cru rêver, quand je vis soudainement, les vagues de cet majestueuse étendue d'eau passée d'un argenté métallisé au merveilleux doré légèrement nacré que tu aimais tant.
Le couché du soleil avait enveloppé ce lieu de magie et volupté.
Je m'assois dans l'herbe, et alors qu'habituellement, je trouvais les couchés de soleil trop éphémère, celui-ci... Non, cet instant, sembla durer des heures.
Les vagues étaient devenues de l'or, semblant danser au vent, se courber, voler sous la bise glacée.
Je me levais pour m'approchais.
Mon reflet miroitait d'un ton légèrement mordoré, déformé par les vagues, pourtant paraissant si pure.
Je cru y voir mon âme.
Point que je n'ai l'immodestie de dire mon âme pure, loin de là.
Mais je ressentait un très étrange sentiment.
Je me voyais, mais je ne me voyais pas moi. Et pourtant, je ne m'étais jamais sentit être moi-même ainsi.
Le soleil ploie finalement sous de lointaines montagnes inconnues.
Je me relève et me sent séduit.
Changer, même, je dirais.
Et enfin, je te comprend.
J'aurais aimé, que toi, papa, et ton fils, anciennement mon frère, soyez là auprès moi, en cet instant, car égoïstement, je me garderais des merveilles que je viens de vivre, et ainsi, je vous raconterais tout de mon aventure, de mes sentiments ressentit, qui ne pourrait être que plus fort vu des yeux d'une enfant que de la lettre qu'elle vous adressera.
J'aurais tant aimé.
Malheureusement, et bien malgré moi, cette lettre ne serait jamais posée sur papier.
Mais à jamais dans mes pensées."
J'ai vu ce que tu avais tant voulu me montrer.
J'aurais aimé que tu sois là, auprès de moi, au moment où je m'approchais de cet endroit que tu avais tant chéri par tes paroles, que tu sublimais, que tu peignais, devant nous, pour nous, que tu admirais.
Cet endroit dont ton âme fût la prisonnière.
Je m'approchais lentement. Au début, je ne m'étais pas aperçut que c'était là que je me trouvais.
Une légère brise automnale m'a fait trembler, quand j'ai regardée devant moi.
Trois lampadaires se dressait juste à côté de moi, l'un d'eux ne marchait plus alors que les autres venaient de s'allumer.
Je continuais à marcher, puis je vins à m'écarter de cette lumière artificielle que tu aurais certainement maudit.
Je me sens frémir du léger vent qui se lève. Après tout, il devait être assez tard ? Je ne sais pas vraiment. J'avais perdue la notion du temps.
Je m'approchais de plus en plus, non sans une mince appréhension. Inconsciemment, sur ce moment, je me renvois à mon passé. Il ne fût pas forcément très heureux, je me l'avoue, mais pas moins fructueux, pourtant.
Je ferme les yeux un moment, tout en marchant, mes mains gantées entrecroisées devant ma bouche déjà violacée.
Je ne me suis encore pas assez couverte et je t'entends de là me dire que tu me l'avais dit, et j'en ris.
Je rouvre les yeux... Et me sens paralyser.
Je suis à l'heure, apparemment, car c'est comme tu me l'as décris.
Et maintenant, je pense comprendre tout ce dont tu nous parlais avec tant de détails, mais que nous ne comprenions que de façon obscur. Comment l'appelais-tu ?
L'étang d'or.
Je cru rêver, quand je vis soudainement, les vagues de cet majestueuse étendue d'eau passée d'un argenté métallisé au merveilleux doré légèrement nacré que tu aimais tant.
Le couché du soleil avait enveloppé ce lieu de magie et volupté.
Je m'assois dans l'herbe, et alors qu'habituellement, je trouvais les couchés de soleil trop éphémère, celui-ci... Non, cet instant, sembla durer des heures.
Les vagues étaient devenues de l'or, semblant danser au vent, se courber, voler sous la bise glacée.
Je me levais pour m'approchais.
Mon reflet miroitait d'un ton légèrement mordoré, déformé par les vagues, pourtant paraissant si pure.
Je cru y voir mon âme.
Point que je n'ai l'immodestie de dire mon âme pure, loin de là.
Mais je ressentait un très étrange sentiment.
Je me voyais, mais je ne me voyais pas moi. Et pourtant, je ne m'étais jamais sentit être moi-même ainsi.
Le soleil ploie finalement sous de lointaines montagnes inconnues.
Je me relève et me sent séduit.
Changer, même, je dirais.
Et enfin, je te comprend.
J'aurais aimé, que toi, papa, et ton fils, anciennement mon frère, soyez là auprès moi, en cet instant, car égoïstement, je me garderais des merveilles que je viens de vivre, et ainsi, je vous raconterais tout de mon aventure, de mes sentiments ressentit, qui ne pourrait être que plus fort vu des yeux d'une enfant que de la lettre qu'elle vous adressera.
J'aurais tant aimé.
Malheureusement, et bien malgré moi, cette lettre ne serait jamais posée sur papier.
Mais à jamais dans mes pensées."
Dernière édition par Ivy le Lun 19 Oct 2009 - 16:27, édité 2 fois
Ivy- David McAllistaire
- Nombre de messages : 8
Age : 30
Re: Un rêve
Eh bien, je suis ravie de découvrir une de tes oeuvres. N'ayons pas peur des mots puisque nous travaillons avec^^
Bon, on va commencer par le côté désagréable:
-Quelques fautes d'orthographe et de conjugaison qui font mal aux yeux^^
Sinon:
-Très beau texte, poétique. Les descriptions sont très bien, on arrive facilement à imaginer ce que le personnage voit. C'est presque un tableau.
-La mise en forme va très bien avec le texte. Ce n'est pas un poème, mais ça pourrait s'en rapprocher.
Je crois que c'est tout ce que je peux dire pour le moment... C'est tout ce qui me vient à l'esprit à chaud. Après, peut-être que j'aurai d'autres remarques.^^
En tout cas, j'ai hâte de lire d'autres textes de toi.
Bon, on va commencer par le côté désagréable:
-Quelques fautes d'orthographe et de conjugaison qui font mal aux yeux^^
Sinon:
-Très beau texte, poétique. Les descriptions sont très bien, on arrive facilement à imaginer ce que le personnage voit. C'est presque un tableau.
-La mise en forme va très bien avec le texte. Ce n'est pas un poème, mais ça pourrait s'en rapprocher.
Je crois que c'est tout ce que je peux dire pour le moment... C'est tout ce qui me vient à l'esprit à chaud. Après, peut-être que j'aurai d'autres remarques.^^
En tout cas, j'ai hâte de lire d'autres textes de toi.
Re: Un rêve
Ha oui, désolée pour les fautes ! Mais j'en fais tout le temps a la première lecture, désolée !
Mais merci de ton commentaire =)
je corrige tout ça dès que j'ai le temps !
Mais merci de ton commentaire =)
je corrige tout ça dès que j'ai le temps !
Ivy- David McAllistaire
- Nombre de messages : 8
Age : 30
Re: Un rêve
Oye Oye ...
Intéressant, très intéressant.
Je ne vois pas encore tout à fait où tu veux en venir, mais ça demande à être suivi. Le style est simple, pas trop compliqué à comprendre, c'est agréable à lire.
Le seul bémol à mon sens (et à l'inverse de Mel'), c'est la présentation, j'ai beaucoup de mal à lire un texte centré en continu. M'enfin après ce n'est qu'une question de goût et d'adaptation ^^.
En tout cas, bon courage à toi et j'espère à bientôt sur ce topic.
Intéressant, très intéressant.
Je ne vois pas encore tout à fait où tu veux en venir, mais ça demande à être suivi. Le style est simple, pas trop compliqué à comprendre, c'est agréable à lire.
Le seul bémol à mon sens (et à l'inverse de Mel'), c'est la présentation, j'ai beaucoup de mal à lire un texte centré en continu. M'enfin après ce n'est qu'une question de goût et d'adaptation ^^.
En tout cas, bon courage à toi et j'espère à bientôt sur ce topic.
Eodwin- Shalla
- Nombre de messages : 65
Age : 33
Localisation : Entre ... une une pipette d'éthanol et fiole d'HCl
:: La Grande Bibliothèque :: Les Archives :: Amestrian
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|